Arlequin
« Arlequin » est une photographie unique qui capture la beauté des reflets et de la lumière dans l’architecture du Musée des Confluences à Lyon. Cette œuvre fait partie de la série « Shitsukan », qui explore la texture du monde à travers l’art de la photographie. En achetant « Arlequin », vous emportez chez vous un fragment d’art, une part d’émotion, et une nouvelle perspective sur le monde.
80,00 € – 460,00 €
« Arlequin » – Un Miroir de l’Âme à Travers l’Architecture du Musée des Confluences
Permettez-moi de vous plonger dans une histoire fascinante. En tant que photographe, je suis constamment à l’affût des instants captivants, des émotions à fleur de peau, des perles rares de la réalité imprégnées d’art et de magie. Ainsi est née « Arlequin », une photographie unique qui a su saisir un instant précieux, un fragment de réalité figé dans le temps.
Arlequin, ce personnage multicolore et jovial, vous est familier, n’est-ce pas ? Celui qui a le don de nous faire rire ? J’ai fait sa connaissance au musée des Confluences de Lyon. Bien qu’il n’ait pas pris forme humaine devant moi, je l’ai découvert vibrant dans la lumière, scintillant sur la façade de verre et d’acier du musée.
N’y voyez aucune illusion ni mirage. C’est là la puissance de l’architecture associée à la photographie. Un bâtiment se transforme en miroir, ce miroir devient une œuvre d’art, et cette œuvre d’art se révèle être Arlequin.
Regardez attentivement. Apercevez-vous la courbe de la façade droite du musée, dressée comme un défi à la gravité ? Sa courbe à gauche rappelle une manche, celle d’un costume. Un costume fait de losanges, de facettes, de reflets… Le costume d’Arlequin.
« Arlequin » – Une Invitation à l’Émerveillement et à la Découverte à Travers l’Art de la Photographie
Ce costume ne se limite pas à une simple apparence, il est une peau. Une peau de lumière. Celle du bâtiment, qui capture le soleil, le transforme et le renvoie sous la forme d’éclats dignes d’Arlequin.
Cette photographie fait partie de ma série « Shitsukan », un mot japonais difficile à traduire qui évoque tout ce que l’on peut ressentir en touchant un objet, en décryptant ses propriétés matérielles. C’est une histoire de textures, de sensations, d’émotions transmises par les matériaux eux-mêmes.
Imaginez à présent que vous puissiez déchiffrer les messages codés de ces matériaux. Quelles émotions cela susciterait-il en vous ? Quel univers cela ouvrirait-il ? C’est précisément ce que j’essaie de partager à travers mes photographies.
Arlequin est une expérience, un voyage dans un monde de lumière et de réflexions. Une invitation à voir autrement, à ressentir différemment.
Je pourrais vous raconter mille et une anecdotes sur la prise de cette photo. Comment un nuage opportuniste s’est immiscé dans le champ au moment précis où j’ai appuyé sur le déclencheur. Comment un passant, amusé par ma concentration, m’a proposé un café, pensant que je montais la garde contre un vol de diamants. Il n’avait pas tout à fait tort, car je volais bel et bien quelque chose : un morceau de réalité, un éclat d’art.
En achetant Arlequin, vous ne faites pas qu’acquérir une simple photographie. Vous apportez chez vous un fragment d’art, un morceau de mon regard, une part d’émotion. Vous offrez une place dans votre vie à cet Arlequin de lumière, ce joyeux drille qui vous fera voir le monde sous un angle différent.
Je suis photographe. J’observe. Je cadre. Je déclenche. Un simple bouton pressé. Un instant capturé. Un Arlequin immortalisé.
Une Immersion dans le Monde des Reflets et de la Lumière à Travers l’Architecture du Musée des Confluences
Tout comme un acteur endosse un rôle, j’ai saisi Arlequin. Non pas avec des gants blancs ni un filet à papillons, mais avec mon appareil photo et une imagination débordante. J’ai découvert son visage joyeux dans l’architecture imposante du musée des Confluences. J’ai vu ses yeux pétillants dans les miroirs de verre et d’acier, ses rires dans les reflets du soleil.
Et là, en un instant, j’ai ressenti l’urgence. Pas l’urgence d’un photographe de presse ou d’un paparazzi. Non, c’était l’urgence d’un artiste qui voit une toile vierge dans un paysage, une symphonie dans le silence, un Arlequin dans un bâtiment.
Je déclenche. Le rideau se lève. Arlequin entre en scène, son costume de lumière scintillant sous le projecteur du soleil. La performance est brève, mais intense. Un spectacle unique que mon objectif et moi avons eu la chance de capturer.
Connaissez-vous cette sensation lorsque vous voyez quelque chose d’extraordinaire, que vous savez que personne d’autre n’a remarqué ? C’est cette sensation qui m’a poussé à partager Arlequin avec le monde. Ainsi, vous pouvez ressentir cette magie, cette émotion qui m’a envahi ce jour-là, devant le musée des Confluences.
Pensez-y, un photographe découvrant un Arlequin dans un bâtiment moderne. Qui le nomme, le cadre, l’immortalise. N’est-ce pas une idée étrange ? Une belle folie ? Je dirais que c’est là l’essence même de l’humour : trouver du plaisir, de la joie et du rire dans les endroits les plus inattendus.
Un Fragment de Réalité Imprégné d’Art et de Magie
Lorsque vous accrochez Arlequin à votre mur, vous ne vous contentez pas de décorer votre espace. Vous invitez l’art à entrer dans votre quotidien. Vous créez un lien avec cette photo, avec cette journée ensoleillée à Lyon, avec ce moment précis où le musée s’est transformé en Arlequin pour moi, et maintenant, pour vous.
Être un artiste, c’est partager. C’est donner une part de soi à chaque œuvre. En achetant Arlequin, vous n’achetez pas seulement une photo, vous emportez un fragment de moi-même, de ma passion, de mon regard sur le monde.
Avec Arlequin, j’ai écrit un chapitre de mon histoire. Êtes-vous prêt à le lire ?
Informations complémentaires
Taille de la photo | Grand 2 (60×80 cm), Moyen 2 (30×40 cm) |
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Papier | Hahnemühle Fine Art Baryta 325g, Invercote 300g |
Finition | Tirage seul, Contrecollé Alu Dibon, Caisse Américaine, Tirage Encadré |
Ambiances | |
Famille | Architecture, Proxy |
Format | 3/2 |
Série | Shitsukan |