Oeufs de Brume est une photographie issue de la série Shikichou, capturant un instant suspendu sur un pétale rose. Entre douceur et étrangeté, chaque goutte devient un microcosme fragile, reflet inversé d’un monde en silence. Imprimée sur papier d’art et signée à la main, cette œuvre non limitée apportera une touche de poésie et de mystère à votre intérieur.

Oeufs de Brume – Une goutte, un monde

Une photographie macro poétique à la frontière du réel

Il y a des instants où l’univers tient dans une goutte. C’est ce que j’ai voulu capturer avec Oeufs de Brume.
Un matin humide, une fleur rose pâle, et cette lumière tamisée comme un souffle. Rien d’extraordinaire à première vue.
Pourtant, en m’approchant, j’ai vu un autre monde. Des bulles translucides, posées là, fragiles, comme des œufs de verre.
Le genre de détail qu’on piétine tous les jours sans y prêter attention. Moi, j’ai sorti le macro.

Car parfois, ce qui semble minuscule raconte plus que mille paysages. Ce cliché, c’est un précipice doux, un équilibre fragile.
Chaque goutte tient par miracle. Elle reflète le monde, mais le monde à l’envers. Et ça, franchement, c’est une philosophie en soi.

Oeufs de Brume, une œuvre de la série Shikichou : la vie en couleurs

Cette image fait partie de ma série Shikichou.
Ce mot japonais signifie quatre saisons. C’est mon fil rouge. Une manière d’explorer la vie, la couleur, et leur fragile dialogue.
Chaque photo de cette série est un moment suspendu. Une invitation à ralentir, à voir autrement, à s’étonner de l’infime.
Ici, la couleur rose devient presque une matière. Le pétale se transforme en tapis de velours.
Et les gouttes ? Des sculptures vivantes, des points d’interrogation qui n’attendent pas de réponse.

Je me suis souvent demandé pourquoi je m’acharnais à photographier des choses que personne ne regarde.
Et la réponse tient en une phrase : parce que c’est là que se cache le vrai spectacle.
Celui qui ne fait pas de bruit, qu’on peut rater si on ne prend pas le temps de s’arrêter.

Et justement, ce jour-là, j’avais le temps. Ou plutôt, c’est lui qui m’a attrapé.
Je venais juste de faire tomber mon bouchon d’objectif dans la terre. En le ramassant, je l’ai vue.
Cette goutte. Puis une autre. Puis dix. C’était un bal. Une scène de théâtre miniature.
Et moi, j’étais en plein spectacle.

Une photographie d’Art signée et imprimée avec soin

Oeufs de Brume est proposée en impression sur papier d’art (Hahnemühle ou équivalent), avec des encres pigmentaires de très haute qualité.
Chaque tirage est signé à la main, mais non limité, ce qui le rend plus accessible tout en gardant sa valeur artistique.
J’ai choisi de ne pas limiter cette photographie, car elle fait partie de ces œuvres que j’ai envie de voir vivre partout.
Dans un salon, un bureau, un couloir un peu triste, ou même un hall d’entrée en quête de douceur.

Ce n’est pas une photo tape-à-l’œil. Mais elle attire l’œil.
Elle parle doucement, mais elle reste.
Oeufs de Brume intrigue, elle réconforte et elle interroge aussi, car on ne sait plus si l’on regarde une goutte ou un monde.

Pour l’encadrement, vous êtes libres.
Mais si vous hésitez, je suis là. J’aime accompagner le choix final. Car ce n’est pas juste une image qu’on accroche : c’est une atmosphère.

Pourquoi choisir Oeufs de Brume ?

Parce qu’elle parle à l’enfance. À ce moment où l’on regardait encore les flaques comme des miroirs magiques.
Parce qu’elle murmure l’éphémère, et que l’on sent qu’elle va disparaître… mais pas tout de suite.
Et aussi, parce qu’elle ne dit pas tout. Elle laisse place à l’imaginaire.

Certaines personnes m’ont dit qu’elles y voyaient des perles sur un drap de soie.
D’autres, des embryons d’univers.
Une dame m’a même affirmé qu’elle lui faisait penser à ses propres larmes, qu’elle n’avait pas versées depuis longtemps.
Je n’ai rien répondu. Je l’ai juste remerciée. Car parfois, c’est le regard du spectateur qui fait naître l’œuvre.

Informations pratiques pour collectionneurs curieux

• Titre : Oeufs de Brume
• Série : Shikichou – Les Quatre Saisons
• Tirage : Non limité, signé à la main
• Support : Papier d’art, encres pigmentaires
• Format : jusqu’au 20×30
• Livraison : Soignée, protégée, rapide – et avec un petit mot personnalisé (j’ai encore des stylos, autant s’en servir)

En conclusion : un petit rien qui dit beaucoup

Ce n’est pas une image spectaculaire. Mais elle fait partie de celles qu’on n’oublie pas.
Car elle ne crie pas. Elle chuchote quelque chose d’essentiel.
Quelque chose comme : « Regarde mieux. Ralentis. Le monde est là. Dans une goutte. »

Et si ça résonne, alors peut-être qu’elle était faite pour vous.
Et si cette goutte tombait… chez vous ?
Cliquez, respirez, accrochez. Le reste, c’est juste de la contemplation.